Edition 2026 - Ouverture des inscriptions le 10 Septembre 2025

Rencontres Photographiques de Boulogne-Billancourt

Edition 2025

© Ville de Boulogne-Billancourt / Bahi

Vidéo : Le film de l'édition 2025

Les lauréats 2025

Grand Prix RPBB

Décerné à William DUPUY

Pour son travail sur : Enfants Fantomes

À l’échelle mondiale, environ 166 millions d’enfants de moins de 5 ans sont désignés comme des “enfants fantômes”, en raison de leur absence d’enregistrement à la naissance. Cette situation les rend invisibles aux yeux des autorités, ce qui est particulièrement préoccupant au Burundi. Dans ce pays, des millions d’enfants se voient privés de droits fondamentaux tels que l’accès à l’éducation, aux soins de santé et à une protection juridique adéquate.

À travers ce reportage photo, j’ai cherché à mettre en lumière les difficultés rencontrées par ces enfants. Pour comprendre les raisons de leur oubli systémique, j’ai exploré des facteurs tels que la pauvreté, la distance qui sépare les bureaux d’état civil des zones rurales, ainsi que le manque de sensibilisation quant à l’importance de l’enregistrement à la naissance. En discutant avec des parents et des enfants, j’ai recueilli des témoignages poignants qui soulignent les conséquences dramatiques de cette absence d’enregistrement, telles que l’absence de reconnaissance légale et l’impossibilité d’accéder à l’aide sociale.

Des organisations, comme l’AMADE, collaborent avec les autorités burundaises pour renforcer les systèmes d’enregistrement et sensibiliser la population à cette problématique cruciale. Leur objectif est de garantir que chaque enfant soit enregistré à la naissance et puisse jouir de ses droits fondamentaux. Pour documenter cette problématique, j’ai passé 15 jours à parcourir plusieurs provinces du Burundi, rencontrant des familles souvent oubliées par la société.

Grand Prix du Public RPBB

Décerné à Claudia REVIDAT

Pour son travail sur : From Dusk Till Dawn

Dans le silence brûlant de l’Ouganda, le lac Katwe scintille, capturant la lumière et les ombres d’une communauté façonnée par les épreuves. Nichée dans la vallée du Rift, cette terre volcanique respire à travers ses mines de sel, où chaque cristal raconte une histoire, un sacrifice. Ici, dans cette arène de labeur, se déroule le destin de familles entières. Le sel n’est pas seulement une ressource ; c’est l’âme même de Katwe, une substance qui soutient autant qu’elle nuit.

La vie quotidienne dans cette communauté est marquée par des sacrifices et des choix forcés. Les enfants, à un âge où leur innocence devrait encore être intacte, troquent l’école pour les mines, rejoignant leurs parents dans une lutte implacable contre la pauvreté. Dans ces eaux polluées, ils s’immergent sans protection, leurs mains et leurs corps exposés à des substances corrosives qui cicatrisent leur chair et menacent leur avenir. L’ammoniac, la saumure et les gaz toxiques imprègnent leur quotidien, transformant chaque journée de travail en une épreuve physique et morale.

À travers son objectif, Claudia Revidat cherche à capturer l’empreinte de cette dure réalité, des corps qui se détériorent aussi rapidement que leurs espoirs. Ces enfants, souvent trop jeunes pour comprendre pleinement les dangers, portent un fardeau bien au-delà de leurs années. Ils s’aventurent dans le lac, cherchant des blocs de sel, leur courage surmontant la peur, leur résolution défiant l’hostilité de leur environnement.

Pourtant, même dans ce monde impitoyable, des lueurs d’espoir perdurent. Claudia Revidat capture les liens entre les membres de la communauté, forgés par la solidarité et la résilience. Une fraternité indestructible, cimentée par la souffrance partagée, illumine la vie de ceux qui y participent. Les moments où ils se soutiennent les uns les autres révèlent l’essence même de l’humanité, une force collective qui transcende la souffrance être définit la dignité.

C’est cette puissance que Claudia Revidat aspire à capturer dans ses images, l’intimité de la lutte quotidienne et l’étincelle d’espoir persistant. Ses photographies rendent hommage à ces âmes qui, face à l’adversité extrême, incarnent la persévérance et l’unité. En documentant cette communauté, elle vise non seulement à révéler les effets visibles de leur labeur mais aussi à découvrir les liens invisibles qui les unissent, des fils tissés d’expériences partagées, de compassion et d’amour, transformant un labeur inhumain en une quête de survie où l’humanité, malgré tout, trouve sa plus grande noblesse

Prix de l'Intime RPBB & Photo Doc

Décerné à Emeline SAUSER

Pour son travail sur : 𝑹𝒆𝒇𝒖𝒈𝒆𝒔

Refuges est un travail documentaire qui se décline en plusieurs chapitres, autour d’histoires de reconstruction. Cette « résidence sur terre », pour reprendre le titre d’un recueil de Pablo Neruda, est parfois étrange, souvent difficile, et c’est quand les choses se compliquent que l’humain fait preuve d’une rage de vivre venue de ses entrailles et qui, parfois, tient du miracle.

Ce que je veux raconter ici, c’est l’après-tempête, le moment où il faut réunir ses forces pour ne pas sombrer. Comment se reconstruit-on ? Pour cette sélection, voici trois de ces histoires :

Heidie s’est échappée d’une relation destructrice grâce à Gaëtan. Elle voulait récupérer la garde de sa fille et reconstruire un quotidien stable. Elle vit avec ses troubles bipolaires et ses addictions.

Bastien, après des années de harcèlement scolaire, a construit un univers glamour et féerique dans sa caravane posée sur le terrain agricole familial.

Philippe est agriculteur. Suite à des problèmes judiciaires, il s’est beaucoup endetté. Son jardin l’apaise. Sa fille Élisa est revenue habiter près de lui pour le soutenir.

Chacune de ces histoires est d’abord le fruit d’une rencontre. Je fais des rencontres en faisant du stop en France, et en errant dans les villes. Je demande aux gens s’ils veulent bien me raconter leurs histoires. Parfois, un miracle se produit, les gens acceptent de m’ouvrir leurs portes et leurs cœurs. Cela devient donc un travail au long-cours, ponctué de visites régulières chez les gens pendant plusieurs mois.

Ce qui unit toutes les histoires individuelles de Refuges, c’est cette énergie qui pousse tous les protagonistes à sortir de leurs histoires violentes pour aller vers la lumière et l’apaisement.

Ce travail est une ode à l’espoir.

Le point de départ est mon admiration pour la force de vie de ces humains. Ils cherchent, obstinément, un peu de paix. Ils cherchent à se libérer. Ces batailles se font silencieuses dans le creux des journées. Très souvent le refuge c’est les autres, l’amour, les liens. L’amour tantôt romantique, tantôt familial. Parfois, c’est un regain d’amour-propre dans le cas de Bastien.

Ce travail est une collaboration avec les personnes photographiées. Ensemble nous cherchons ces instants de grâce, infiniment fragiles. Le temps d’un instant tout se répond et tout s’unit.

Cela fait désormais un an et demi que j’ai commencé Refuges et je voudrais de tout mon cœur continuer ce travail photographique en lui ajoutant de nouvelles histoires.

Les 10 finalistes de 2025

William DUPUY (Grand Prix RPBB)

Enfants Fantomes À l’échelle mondiale, environ 166 millions d’enfants de moins de 5 ans sont désignés comme des “enfants fantômes”, en raison de leur absence d’enregistrement à la naissance. Cette situation les rend invisibles aux yeux des autorités, ce qui est particulièrement préoccupant au Burundi. Dans ce pays, des millions d’enfants se voient privés de droits fondamentaux tels que l’accès à l’éducation, aux soins de santé et à une protection juridique adéquate. À travers ce reportage photo, j’ai cherché à mettre en lumière les difficultés rencontrées par ces enfants. Pour comprendre les raisons de leur oubli systémique, j’ai exploré des facteurs tels que la pauvreté, la distance qui sépare les bureaux d’état civil des zones rurales, ainsi que le manque de sensibilisation quant à l’importance de l’enregistrement à la naissance. En discutant avec des parents et des enfants, j’ai recueilli des témoignages poignants qui soulignent les conséquences dramatiques de cette absence d’enregistrement, telles que l’absence de reconnaissance légale et l’impossibilité d’accéder à l’aide sociale. Des organisations, comme l’AMADE, collaborent avec les autorités burundaises pour renforcer les systèmes d’enregistrement et sensibiliser la population à cette problématique cruciale. Leur objectif est de garantir que chaque enfant soit enregistré à la naissance et puisse jouir de ses droits fondamentaux. Pour documenter cette problématique, j’ai passé 15 jours à parcourir plusieurs provinces du Burundi, rencontrant des familles souvent oubliées par la société.

Claudia REVIDAT (Grand Prix du Public RPBB)

From Dusk Till Dawn

Dans le silence brûlant de l’Ouganda, le lac Katwe scintille, capturant la lumière et les ombres d’une communauté façonnée par les épreuves. Nichée dans la vallée du Rift, cette terre volcanique respire à travers ses mines de sel, où chaque cristal raconte une histoire, un sacrifice. Ici, dans cette arène de labeur, se déroule le destin de familles entières. Le sel n’est pas seulement une ressource ; c’est l’âme même de Katwe, une substance qui soutient autant qu’elle nuit.

La vie quotidienne dans cette communauté est marquée par des sacrifices et des choix forcés. Les enfants, à un âge où leur innocence devrait encore être intacte, troquent l’école pour les mines, rejoignant leurs parents dans une lutte implacable contre la pauvreté. Dans ces eaux polluées, ils s’immergent sans protection, leurs mains et leurs corps exposés à des substances corrosives qui cicatrisent leur chair et menacent leur avenir. L’ammoniac, la saumure et les gaz toxiques imprègnent leur quotidien, transformant chaque journée de travail en une épreuve physique et morale.

À travers son objectif, Claudia Revidat cherche à capturer l’empreinte de cette dure réalité, des corps qui se détériorent aussi rapidement que leurs espoirs. Ces enfants, souvent trop jeunes pour comprendre pleinement les dangers, portent un fardeau bien au-delà de leurs années. Ils s’aventurent dans le lac, cherchant des blocs de sel, leur courage surmontant la peur, leur résolution défiant l’hostilité de leur environnement.

Pourtant, même dans ce monde impitoyable, des lueurs d’espoir perdurent. Claudia Revidat capture les liens entre les membres de la communauté, forgés par la solidarité et la résilience. Une fraternité indestructible, cimentée par la souffrance partagée, illumine la vie de ceux qui y participent. Les moments où ils se soutiennent les uns les autres révèlent l’essence même de l’humanité, une force collective qui transcende la souffrance être définit la dignité.

C’est cette puissance que Claudia Revidat aspire à capturer dans ses images, l’intimité de la lutte quotidienne et l’étincelle d’espoir persistant. Ses photographies rendent hommage à ces âmes qui, face à l’adversité extrême, incarnent la persévérance et l’unité. En documentant cette communauté, elle vise non seulement à révéler les effets visibles de leur labeur mais aussi à découvrir les liens invisibles qui les unissent, des fils tissés d’expériences partagées, de compassion et d’amour, transformant un labeur inhumain en une quête de survie où l’humanité, malgré tout, trouve sa plus grande noblesse

Emeline SAUSER (Prix de l'Intime RPBB & Photo Doc)

𝑹𝒆𝒇𝒖𝒈𝒆𝒔

Refuges est un travail documentaire qui se décline en plusieurs chapitres, autour d’histoires de reconstruction. Cette « résidence sur terre », pour reprendre le titre d’un recueil de Pablo Neruda, est parfois étrange, souvent difficile, et c’est quand les choses se compliquent que l’humain fait preuve d’une rage de vivre venue de ses entrailles et qui, parfois, tient du miracle.

Ce que je veux raconter ici, c’est l’après-tempête, le moment où il faut réunir ses forces pour ne pas sombrer. Comment se reconstruit-on ? Pour cette sélection, voici trois de ces histoires :

Heidie s’est échappée d’une relation destructrice grâce à Gaëtan. Elle voulait récupérer la garde de sa fille et reconstruire un quotidien stable. Elle vit avec ses troubles bipolaires et ses addictions.

Bastien, après des années de harcèlement scolaire, a construit un univers glamour et féerique dans sa caravane posée sur le terrain agricole familial.

Philippe est agriculteur. Suite à des problèmes judiciaires, il s’est beaucoup endetté. Son jardin l’apaise. Sa fille Élisa est revenue habiter près de lui pour le soutenir.

Chacune de ces histoires est d’abord le fruit d’une rencontre. Je fais des rencontres en faisant du stop en France, et en errant dans les villes. Je demande aux gens s’ils veulent bien me raconter leurs histoires. Parfois, un miracle se produit, les gens acceptent de m’ouvrir leurs portes et leurs cœurs. Cela devient donc un travail au long-cours, ponctué de visites régulières chez les gens pendant plusieurs mois.

Ce qui unit toutes les histoires individuelles de Refuges, c’est cette énergie qui pousse tous les protagonistes à sortir de leurs histoires violentes pour aller vers la lumière et l’apaisement.

Ce travail est une ode à l’espoir.

Le point de départ est mon admiration pour la force de vie de ces humains. Ils cherchent, obstinément, un peu de paix. Ils cherchent à se libérer. Ces batailles se font silencieuses dans le creux des journées. Très souvent le refuge c’est les autres, l’amour, les liens. L’amour tantôt romantique, tantôt familial. Parfois, c’est un regain d’amour-propre dans le cas de Bastien.

Ce travail est une collaboration avec les personnes photographiées. Ensemble nous cherchons ces instants de grâce, infiniment fragiles. Le temps d’un instant tout se répond et tout s’unit.

Cela fait désormais un an et demi que j’ai commencé Refuges et je voudrais de tout mon cœur continuer ce travail photographique en lui ajoutant de nouvelles histoires.

Isabeau de ROUFFIGNAC

Les fruits amers de la partition

La partition de l’Inde et la création du Pakistan en août 1947, puis celle de Bangladesh en 1971 ont provoqué l’une des plus grandes convulsions de l’Histoire. Pendant plusieurs décennies, parce que deux communautés religieuse ne s’entendaient pas, plus de vingt millions de personnes ont été déplacées, plus de quatre millions sont mortes, des milliers de femmes ont été violées, enlevées, des familles séparées, des propriétés perdues. Je suis partie à la rencontre des survivants de cette partition, de part et d’autre de la frontière, avant qu’il ne soit trop tard.

Anaïs OUDART

Perles d’Ukraine

Depuis l’invasion à grande échelle de l’Ukraine, des milliers de femmes fuient un conflit marqué par la violence et l’exploitation sexuelle : viols, viols utilisés comme arme de guerre, prostitution donnant lieu à des échanges monétaires, ou prostitution de survie.

Au-delà des frontières, là où elles espèrent trouver refuge, elles restent à la merci de ceux qui les hébergent ou leur viennent en aide. Leurs corps, déjà marqués par la guerre, demeurent un territoire sur lequel s’exerce la violence. Les images altérées témoignent de la violence de leurs parcours ou servent parfois à préserver leur anonymat.

Yves LACROIX

A travers les fissures en nous la lumière pénètre

Depuis février 2022, l’Ukraine est confrontée à une guerre dévastatrice, laissant derrière elle des bâtiments détruits, symboles du chaos et de l’abime. Malgré la désolation, ces bâtiments, à l’image du peuple ukrainien, résistent, fissurés mais encore debout. ces ruines incarnent aussi l’espoir et le

renouveau.

Cette lumière que j’installe au cœur des murs en souffrance est la promesse des jours meilleurs à venir. La lumière, source de vie, trouvera toujours un chemin dans les ténèbres, reflétant la résilience de l’esprit humain et sa capacité à se relever de toutes les tragédies. Du chaos surgira la lumière.

Natalya SAPRUNOVA

Dégel du permafrost dans l’Arctique

Le réchauffement de l’Arctique accéléré le dégel du permafrost,
provoquant affaissements, effondrements et inondations.
La libération de CO2 et de méthane intensifie le changement
climatique. Le Canada et la Yakoutie sont particulièraiment
touchés, menaçant les écosystèmes et les communautés
autochtones. La contamination au mercure et l’érosion côtière
aggravent la situation, forçant certaines communautés à envisager
la relocalisation, faisant d’elles de futurs réfugiés climatiques.

Chaud-Cuong LÊ

Prayer for lovers with broken hands

Depuis 2023, je pose mon regard sur la commune rurale de Wilson, en Caroline du Nord aux Etats Unis. Autrefois haut lieu de l’industrie du tabac, la ville a subi le déclin de la filière, poussant la fermeture des usines, le départ de sa population, la paupérisation et le délabrement de la commune accentuant le sentiment d’inégalités sociales et d’insécurité diffuse.
Je profite de ce temps d’immersion pour approfondir ma relation au temps, jouer avec mon imaginaire fantasmé sur l’Amérique des petites villes, où le vide cotoie l’intranquilité de façade bercée de visages enigmatiques et désabusés, de batiments abandonnés, d’histoires singulières et repentances larvées alimentées par l’importance de la religion évangélique baptiste. Le travail photographique oscille entre une approche post-documentaire et une écriture subjective, relatif à la sensation latente qu’un inéluctable drame mystérieux (presque fantastique) va se passer ; en echo à l’univers d’auteurs tels que David Lynch ou Daniel Clowes.

Erwan FLOC'H

Le royaume de l’aube

La ferme de Penprat au Finistère sud, est l’un des derniers vestiges de la paysannerie préindustrielle ayant perduré jusqu’à nos jours grâce à la détermination sans faille d’un couple qui la possède et l’exploite. Cette ferme domine une quinzaine d’hectares repartis en une vingtaine de parcelles. Jean-Bernard hérite du domaine à 21 ans, en1968. Contrairement aux tendances de mécanisation, utilisation d’engrais chimiques et pesticides, élevage des bêtes en batteries, Jean-Bernard et sa femme n’ont rien changé à leurs habitudes. Aujourd’hui vis à vis des jeunes agriculteurs ils passent pour des prophètes.

Lorraine TURCI

Avant demain
Solidarité entre femmes victimes d’atteintes aux droits de l’homme.

Sous le régime de l’ancien dictateur Yahya Jammeh en Gambie,
de nombreux actes de violations des droits de l’homme ont été
commis, exécutions extrajudiciaires, disparitions forcées, tortures,
détentions arbitraires, violences sexuelles. Les femmes ont été
particulièrement vulnérables aux abus du régime.
Aujourd’hui, les femmes deviennent actrices du changement par
le travail de mémoire et porteuses d’avenir, elles construisent un
long processus de réparation.

Les chiffres 2025

© Ville de Boulogne-Billancourt / Bahi

Une deuxième édition pleine de succès

RPBB a organisé en novembre 2023 ses premières lectures de portfolios proposant des rencontres entre experts du monde de la photographie et des photographes, engagés dans un travail allant à la rencontre de « l’autre », et reflétant des valeurs humanistes et documentaires ainsi que le premier Prix RPBB 2024 et le Prix du Public de Boulogne-Billancourt 2024.

Ce sont 270 photographes et 66 experts (36 femmes pour 30 hommes) qui ont répondu présents à cette première opération générant 1032 rencontres pour une dotation au gagnant de 6000 € !!

Les experts 2025

  Chargée d’exposition et de mission à la Maison Européenne de la Photographie Commissaire d’exposition Français / Anglais   Aden Vincendeau travaille à

  Directrice artistique et Consultante en photographie   Français / Anglais Agathe Kalfas travaille depuis 10 ans dans la conception et la direction de projets culturels

  Commissaire d’exposition et art advisor spécialisée en photographie Français / anglais   Après avoir créé et dirigé la collection de la Caisse des dépôts et

  Conseiller municipal délégué à la culture de la ville de Boulogne-Billancourt Français/ Anglais / Allemand   André de Bussy est Conseiller municipal délégué à

  Consultante, scénographe et commissaire d’exposition indépendante Membre des Filles de la Photo. Français   Evoluant dans le domaine culturel depuis plus d’une q

    Fondateur et éditeur du magazine Process   Benoît Pelletier édite le magazine Process, qu’il a fondé en 2015, et dans lequel, avec son équipe, il partage

  Co-fondatrice de la Maison d’édition Hemeria Français / Anglais / Espagnol   Créatrice et directrice d’une revue semestrielle dédiée à la photographie (20

  Éditrice & experte en création de contenus et stratégie de marque Français   Caroline Perreau est éditrice et co-fondatrice d’une agence de communication éd

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